🎶 Petit escargot, porte sur son dos, sa maisonnette 🎶
Le début de la journée ressemble à un départ en vacances : bus Y, aéroport, embarquement à l’heure, transit à Bruxelles sans délai, arrivée à Dakar à l’heure, douanier plus sympa qu’à NYC tout en étant professionnel, change de monnaie sans entourloupe  et aucun problème, si étrange que celà puisse paraître, pour la récupération de nos bagages.
Note : pour ceux qui espéraient un 1er épisode plus mouvementé, c’est pas sympa d’espérer qu’il nous arrive des problèmes juste pour que le blog soit plus rigolo.
L’environnement européen se dilue à la sortie de l’aéroport. Un homme nous guide vers un taxi, Lucas négocie le tarif, on charge et c’est parti pour 45 min d’autoroute.  Autant l’interieur de la route est très similaire aux routes françaises autant le décor autour est sensiblement différent. Du sable rouge et des maisons en construction permanente remplacent les champs jaunes.
L’adresse est « facile à trouver, il faut prendre la sortie castor, prendre l’avenue Bourguiba jusqu’au stade Demba Diop puis à droite, puis encore à droite, après la pharmacie à gauche, puis à droite et vous arrivez dans l’impasse ». Avec ces indications je ne vois pas comment on aurait pu ne pas y arriver, en plus « y a une boucherie  avant la pharmacie »
C’est à se demander pourquoi on a donné directement le numéro de sœur Bernadette au chauffeur de taxi après avoir tourné autour du « terrain » de basket.
Finalement on arrive à bon port et sœur Bernadette nous présente les autres habitantes de la maison. Elle nous montre notre chambre, nous nous installons et nous descendons manger avec elles.
Avant de dormir nous installons la moustiquaire sans vraiment prendre le temps de lire l’intégralité de la notice.
J’espère que tout roule pour vous les copains
A bientĂ´t !
Il ne vous manque plus que la camĂ©ra pour « Dakar express » ou « j’irai dormir chez les religieuses » !
Euh moi je viens vous voir si vous venez me chercher Ă l’aĂ©roport …
Pas d’inquiĂ©tude… il n’y aura pas de bizutage surprise. On viendra te chercher Ă l’aĂ©roport.